Apparently if you haven't seen a movie but want to, that's the equivalent of 3½ stars.
Not a bad system, really.
It just makes me seem incredibly consistant.
And maybe I am.
Thursday, February 28, 2008
Un cerf-volant de pensées volées
Je me demande des fois si c’est vraiment nécessaire. Quoi? Ça, je ne sais pas. Cette première phrase m’est venue à l’esprit, puis j’ai perdu l’élan.
C’est bizarre d’être ici à la bibliothèque, en traîne de taper en français, ce qui est normalement un garanti de l’intimité dans tous les autres sphères de ma vie. Mais ici, je réalise maintenant que le gars à côté de moi peut facilement jeter un coup d’œil subtile à l’écran et absorber rapidement ce que je suis en traîne d’écrire; mais si j'écriviais en anglais, je pourrai relater à haute voix tous ce qui j’écris, et il n’aurait aucun idée de quoi je parle.
C’est une notion intéressante, bizarre et profonde – l’idée de l’intimité dépendant de la langue (un petit jeu-paroles là). Des idées, des actions, des paroles et des pensées subissent une bourse de valeurs fluctuantes liée à la langue dans laquelle nous nous exprimons, et également (ou même primordialement), la langue du récipient. Alors, nous devons nous demander : est-ce que la valeur de nos idées se trouve vraiment dans le corps de l’idée, ou est-ce que c’est la forme et la manière d’exprimer l’idée qui la rend signifiante ou non? Et si cela est le cas (comme je le soupçonne), ne devrions-nous pas mettre une emphase incroyable sur les études sociologiques, psychologiques et culturelles aux lieux des autres études comme l’administration des affaires? Si nous ne pouvons pas communiquer, comment est-ce que nous ferons du progrès?
Voyons donc, ma phrase d’intro fait peut-être du sens après tout!
C’est bizarre d’être ici à la bibliothèque, en traîne de taper en français, ce qui est normalement un garanti de l’intimité dans tous les autres sphères de ma vie. Mais ici, je réalise maintenant que le gars à côté de moi peut facilement jeter un coup d’œil subtile à l’écran et absorber rapidement ce que je suis en traîne d’écrire; mais si j'écriviais en anglais, je pourrai relater à haute voix tous ce qui j’écris, et il n’aurait aucun idée de quoi je parle.
C’est une notion intéressante, bizarre et profonde – l’idée de l’intimité dépendant de la langue (un petit jeu-paroles là). Des idées, des actions, des paroles et des pensées subissent une bourse de valeurs fluctuantes liée à la langue dans laquelle nous nous exprimons, et également (ou même primordialement), la langue du récipient. Alors, nous devons nous demander : est-ce que la valeur de nos idées se trouve vraiment dans le corps de l’idée, ou est-ce que c’est la forme et la manière d’exprimer l’idée qui la rend signifiante ou non? Et si cela est le cas (comme je le soupçonne), ne devrions-nous pas mettre une emphase incroyable sur les études sociologiques, psychologiques et culturelles aux lieux des autres études comme l’administration des affaires? Si nous ne pouvons pas communiquer, comment est-ce que nous ferons du progrès?
Voyons donc, ma phrase d’intro fait peut-être du sens après tout!
Monday, February 04, 2008
Housesitting charms, lies and belies
Interrrrrressante.
Mmm, it's one of those stellar 21:28 o'clock moments with nothing profound in mind and a whole blank screen at your disposal. Dangerous!
I am comfortably uncomfortable in our office chair in my new house for this semester. House-sitting offers so many lovely fulfillments of unexpected anticipations, such as blank kitchen tables sitting on shiny hardwood, linen closets stocked with Swiffer refills, multiple bottles of Spray n' Wash, GalaxieMusic on Channel 900s, the silent scrape of a mailbox key, an entryway to be mopped, and a sliding closet door across an empty floor. It's the small freedoms that culminate in expansive, explosive gratitude.
Raucous praise for the wandering bond between retired couples and 20-something university students!
Mmm, it's one of those stellar 21:28 o'clock moments with nothing profound in mind and a whole blank screen at your disposal. Dangerous!
I am comfortably uncomfortable in our office chair in my new house for this semester. House-sitting offers so many lovely fulfillments of unexpected anticipations, such as blank kitchen tables sitting on shiny hardwood, linen closets stocked with Swiffer refills, multiple bottles of Spray n' Wash, GalaxieMusic on Channel 900s, the silent scrape of a mailbox key, an entryway to be mopped, and a sliding closet door across an empty floor. It's the small freedoms that culminate in expansive, explosive gratitude.
Raucous praise for the wandering bond between retired couples and 20-something university students!
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